lundi, mai 21, 2007
Sevilla
Chose promise, chose dûe.
Pues, el viaje sigue y ya vamos a ver lo que pasa por Sevilla. Ciudad en Andalusia, que se queda tipica aunque el tiempo pasa.
A ville typique espagnole, introduction typique, comme vous l'aurez compris Seville, quatrième ville d'Espagne a su malgré les siècles garder sa saveur d'antan.
Alors commençons sans plus tarder le tour d'horizon de cette cité avec la cathédrale. Construite durant le XVème siècle elle impressionne par sa taille qui peut est qualifiée de gigantesque.
Montons de ce fait en haut où se situe le cloché. D'ici se voient les moindres recoins de Séville et notament sur cette photo en premier plan les toits de la cathédrale et en haut a gauche les murailles du palais d'Alcazar
Effectuons à présent un tour par celui-ci. Souvent appelé le petit Alhambra (Voir Séjour à Granada), il s'en distingue tout de même et parait à mes yeux plus réussis du côté des jardins qui sont aussi vastes que splendides.
Pour se déplacer dans cette "cité", rien de tel qu'un carosse décapotable mené à allure modérée par un "Sevillano" pur souche qui lorque qu'il ne vous balade pas passe son temps a lustrer son engin entouré de ses compagnons de métier.
Dirigons nous ensuite à la "Plaza de España" ou se situe une des constructions les plus impressionantes de Sevilla. Bâtie en arc de cercle autour d'une grande esplanade et composé de 2 tours a son extrêmité, ce Palais ne fait pas dans le conformisme (Sur la photo on n'aperçoit que la partie centrale).
Suivons par le "Barrio de Santa Cruz", autrement dit le quartier qui a su rester le plus typique de l'ancien temps (construit autour su XVIIème siècle) . Essentiellement composé de ruelles gardant une certaine fraicheur durant les fortes chaleurs et de petites places bien fleuries il y est très agréble de s'y promener
Enfin un dernier détour par le bar de Seville. Là encore l'ambience "Sevillana" est bien pâlpable : décor, chanteurs de flamenco, patronne au caractère trempé, tout y est pour vous rappeler que vous êtes bien en andalousie.
Pues, el viaje sigue y ya vamos a ver lo que pasa por Sevilla. Ciudad en Andalusia, que se queda tipica aunque el tiempo pasa.
A ville typique espagnole, introduction typique, comme vous l'aurez compris Seville, quatrième ville d'Espagne a su malgré les siècles garder sa saveur d'antan.
Alors commençons sans plus tarder le tour d'horizon de cette cité avec la cathédrale. Construite durant le XVème siècle elle impressionne par sa taille qui peut est qualifiée de gigantesque.
Montons de ce fait en haut où se situe le cloché. D'ici se voient les moindres recoins de Séville et notament sur cette photo en premier plan les toits de la cathédrale et en haut a gauche les murailles du palais d'Alcazar
Effectuons à présent un tour par celui-ci. Souvent appelé le petit Alhambra (Voir Séjour à Granada), il s'en distingue tout de même et parait à mes yeux plus réussis du côté des jardins qui sont aussi vastes que splendides.
Pour se déplacer dans cette "cité", rien de tel qu'un carosse décapotable mené à allure modérée par un "Sevillano" pur souche qui lorque qu'il ne vous balade pas passe son temps a lustrer son engin entouré de ses compagnons de métier.
Dirigons nous ensuite à la "Plaza de España" ou se situe une des constructions les plus impressionantes de Sevilla. Bâtie en arc de cercle autour d'une grande esplanade et composé de 2 tours a son extrêmité, ce Palais ne fait pas dans le conformisme (Sur la photo on n'aperçoit que la partie centrale).
Suivons par le "Barrio de Santa Cruz", autrement dit le quartier qui a su rester le plus typique de l'ancien temps (construit autour su XVIIème siècle) . Essentiellement composé de ruelles gardant une certaine fraicheur durant les fortes chaleurs et de petites places bien fleuries il y est très agréble de s'y promener
Enfin un dernier détour par le bar de Seville. Là encore l'ambience "Sevillana" est bien pâlpable : décor, chanteurs de flamenco, patronne au caractère trempé, tout y est pour vous rappeler que vous êtes bien en andalousie.
Dépêche Tardive
Comme le veut le précepte : Mieux vaut tard que jamais...
Alors je vous présente la Baignade Team qui a inauguré la baignade version 2007 à Valencia, c'était le 13 janvier pour information
De gauche à droite : Moi, Hanz dit Juan (Norvégien), Grethe (Norvégien), Fulvio (Italien), Christof (Autrichien)
Alors je vous présente la Baignade Team qui a inauguré la baignade version 2007 à Valencia, c'était le 13 janvier pour information
De gauche à droite : Moi, Hanz dit Juan (Norvégien), Grethe (Norvégien), Fulvio (Italien), Christof (Autrichien)
dimanche, avril 22, 2007
Fallas en Valencia
Aujourd'hui point d'escapade eurepéenne ni même espagnole, mais première présentation de ma ville d'accueil : Valencia.
Mais pour ne pas faire dans le traditionnalisme ce ne sont pas les monuments ni même les différents quartiers que je vous présenterai en premier lieu mais belle et bien la fête annuelle de la ville.
que l'on se le dise de suite, fêtes françaises et fêtes espagnoles ont des points communs mais aussi des différences qui est entre autre le bruit! (auquel nous reviendrons plus tard).
Le fondement de cette fête provient de la religion, ce qui explique que la place de la vierge soit un des points capitaux de la mise en scène. Ici figure une vierge toute vêtue de fleurs d'une dimension impressionante.
De même la statue au centre de cette place se voit toute entourée de fleurs. Pour ce qui en est des raisons de cette mise en scène je ne saurais vous donnez d'explication et vous renvoie donc à une recherche personnelle.
Passons dorénavant à la présentation des falleras. Hommes et femmes s'habillent pour ces fêtes de costumes traditionnels qui si ils passent plutôt inaperçus du côté des hommes et ne sont pas forcement d'un meilleur gout, sont au contraire splendides pour les femmes et de très bonne facture.
Néanmoins le clou du spéctacle réside dans les fallas. Présentes dans toute la ville (on en dénombre plus de 100) elles sont de toutes tailles et de tous thèmes. Leur financement provient du sponsoring mais essentiellement de dons des Valenciens (beaucoup de gens finançant la falla de leur quartier).
Les Valenciens sont conviés a voter pour élire la plus belle de celles-ci (il existe plusieurs catégories de tailles et donc plusieurs gagnantes),les deux photos représentant la principale gagnante, vu de devant et de derrière.
Taille de cette falla : plus de 10 mètres de haut.
coût : 1 million d'euro.
On peut légitimement se demander que deviennent toutes ces fallas qui je vous le rappelle se compte par dizaines. Car aussi belles soient elles l'espace qu'elles occupent n'est pas négligeable...Un seule solution alors que je vous laisse découvrir...
Et oui rien de tel pour les faire disparaitre que de les bruler! toutes sans exceptions et même les plus belles. la seule chose de conservée est une toute petite partie de la falla qui a gagné et qui rejoint le musée.
Enfin arrive la tant attendue coutûme espagnole! Comme je vous le disais en précepte ce qui diffèrent beaucoup entre fête espagnole et française sont les feux d'artifices. Alors même si il y en avait un durant 4 jours pendant la nuit le vrai feu d'artifices valencien se fait le jour! Et oui toutes les illuminations sont quittées et les bruits amplifiés... Cela donne des pétards qui font un bruit ahurissant!
Enfin pour plus d'informations www.fallas.com
Mais pour ne pas faire dans le traditionnalisme ce ne sont pas les monuments ni même les différents quartiers que je vous présenterai en premier lieu mais belle et bien la fête annuelle de la ville.
que l'on se le dise de suite, fêtes françaises et fêtes espagnoles ont des points communs mais aussi des différences qui est entre autre le bruit! (auquel nous reviendrons plus tard).
Le fondement de cette fête provient de la religion, ce qui explique que la place de la vierge soit un des points capitaux de la mise en scène. Ici figure une vierge toute vêtue de fleurs d'une dimension impressionante.
De même la statue au centre de cette place se voit toute entourée de fleurs. Pour ce qui en est des raisons de cette mise en scène je ne saurais vous donnez d'explication et vous renvoie donc à une recherche personnelle.
Passons dorénavant à la présentation des falleras. Hommes et femmes s'habillent pour ces fêtes de costumes traditionnels qui si ils passent plutôt inaperçus du côté des hommes et ne sont pas forcement d'un meilleur gout, sont au contraire splendides pour les femmes et de très bonne facture.
Néanmoins le clou du spéctacle réside dans les fallas. Présentes dans toute la ville (on en dénombre plus de 100) elles sont de toutes tailles et de tous thèmes. Leur financement provient du sponsoring mais essentiellement de dons des Valenciens (beaucoup de gens finançant la falla de leur quartier).
Les Valenciens sont conviés a voter pour élire la plus belle de celles-ci (il existe plusieurs catégories de tailles et donc plusieurs gagnantes),les deux photos représentant la principale gagnante, vu de devant et de derrière.
Taille de cette falla : plus de 10 mètres de haut.coût : 1 million d'euro.
On peut légitimement se demander que deviennent toutes ces fallas qui je vous le rappelle se compte par dizaines. Car aussi belles soient elles l'espace qu'elles occupent n'est pas négligeable...Un seule solution alors que je vous laisse découvrir...
Et oui rien de tel pour les faire disparaitre que de les bruler! toutes sans exceptions et même les plus belles. la seule chose de conservée est une toute petite partie de la falla qui a gagné et qui rejoint le musée.
Enfin arrive la tant attendue coutûme espagnole! Comme je vous le disais en précepte ce qui diffèrent beaucoup entre fête espagnole et française sont les feux d'artifices. Alors même si il y en avait un durant 4 jours pendant la nuit le vrai feu d'artifices valencien se fait le jour! Et oui toutes les illuminations sont quittées et les bruits amplifiés... Cela donne des pétards qui font un bruit ahurissant!
Enfin pour plus d'informations www.fallas.com
dimanche, mars 04, 2007
Lugano in Tichino
Me voici de retour dans mon voyage à travers l'Europe...
Présente destination : La Suisse, plus précisemment italienne à Lugano.
Description succinte du décor. Comme l'on peut s'en douter la langue employée ici est l'italien , mais rassurer vous bon français que vous êtes, les Suisses Italiens comprennent et parlent parfaitement le français.
Mais que peut-on faire en Suisse italienne pour se divertir? Quelle question vous répondrait un Suisse... Aller au carnaval biensur! Et oui car ici cela est tradition, dans toutes les villes composées de suffisament d'habitants est organisé un carnaval annuel (ça en fait des carnavals!)
Première facette du carnaval : le jour. Les enfants sont rois et les parents en sont réduits au rôle de spectateurs. Mais ne vous inquitez pas tout le monde y trouve son compte, les enfants qui se divertissent entre copains et les parents qui regardent et photographient leur progéniture avec une attention qui n'a d'égale que leur admiration!
Seconde façette : la nuit tombe. Le rideau se lève sur les "Grungen" ou fanfares, car comme dans tous les carnavals un concours de la meilleure fanfare est organisé et des fanfares de toute la suisse se déplace pour en débattre.
Troisième façette : Le carnaval est aussi le moment idéal pour faire la fête, alors revêtus d'un déguisement en guise de prétexte, des milliers de jeunes déambulent dans les rues effectuant des haltes à chaque bar mobile ou non sur leur chemin
Pour ma part après avoir testé le carnaval il m'eut fallut tester la cuisine suisse. De ce point de vue rien à redire, les mets y sont raffinés et très appréciables, comme par exemple ce plat typique fait à partir de pâtes au froment (Merci à Nives pour sa cuisine délicieuse)
Bien nourri il fut donc temps d'attaquer les pistes vertigineuses. Et oui car la Suisse est aussi une terre idéale pour skier. Alors armé du matériel bien rôdé du cousin nous devalâmes les pistes fortes bien enneigées.
Présente destination : La Suisse, plus précisemment italienne à Lugano.
Description succinte du décor. Comme l'on peut s'en douter la langue employée ici est l'italien , mais rassurer vous bon français que vous êtes, les Suisses Italiens comprennent et parlent parfaitement le français.
Mais que peut-on faire en Suisse italienne pour se divertir? Quelle question vous répondrait un Suisse... Aller au carnaval biensur! Et oui car ici cela est tradition, dans toutes les villes composées de suffisament d'habitants est organisé un carnaval annuel (ça en fait des carnavals!)
Première facette du carnaval : le jour. Les enfants sont rois et les parents en sont réduits au rôle de spectateurs. Mais ne vous inquitez pas tout le monde y trouve son compte, les enfants qui se divertissent entre copains et les parents qui regardent et photographient leur progéniture avec une attention qui n'a d'égale que leur admiration!
Seconde façette : la nuit tombe. Le rideau se lève sur les "Grungen" ou fanfares, car comme dans tous les carnavals un concours de la meilleure fanfare est organisé et des fanfares de toute la suisse se déplace pour en débattre.
Troisième façette : Le carnaval est aussi le moment idéal pour faire la fête, alors revêtus d'un déguisement en guise de prétexte, des milliers de jeunes déambulent dans les rues effectuant des haltes à chaque bar mobile ou non sur leur chemin
Pour ma part après avoir testé le carnaval il m'eut fallut tester la cuisine suisse. De ce point de vue rien à redire, les mets y sont raffinés et très appréciables, comme par exemple ce plat typique fait à partir de pâtes au froment (Merci à Nives pour sa cuisine délicieuse)Bien nourri il fut donc temps d'attaquer les pistes vertigineuses. Et oui car la Suisse est aussi une terre idéale pour skier. Alors armé du matériel bien rôdé du cousin nous devalâmes les pistes fortes bien enneigées.
mardi, février 27, 2007
Flash Spécial de Laponie
Une fois n'est pas coutume, ce n'est pas moi qui vous conterai l'histoire mais bien thibault dis lbon toub pour les intimes, autre Erasmus mais, pourrait-on dire, expatrié aux antipodes puisque il effectue son échange en Finlande. Alors... Enjoy it
"Nous sommes actuellement dans le nord de l’Europe, au dela du cercle arctique, dans une ville lapone Inari. 
A la gare de Rovaniemi ou nous arrivons vers 8h du matin nous attendent deux Toyota corolla, monté pneus cloutés spécial neige, sièges chauffants et climatisation automatique svp. Avec ca la route ne nous fait pas peur.
Et la route est longue, encore 3-4h de voitures pour enfin arrivé à Inari. En cours de route nous pouvons voir quelques rennes, et peu de traffic, les routes sont longues, monotones et enneigées. Nous apercevons tout de même quelques paysages intéressant.
"Nous sommes actuellement dans le nord de l’Europe, au dela du cercle arctique, dans une ville lapone Inari. 
A la gare de Rovaniemi ou nous arrivons vers 8h du matin nous attendent deux Toyota corolla, monté pneus cloutés spécial neige, sièges chauffants et climatisation automatique svp. Avec ca la route ne nous fait pas peur.
Et la route est longue, encore 3-4h de voitures pour enfin arrivé à Inari. En cours de route nous pouvons voir quelques rennes, et peu de traffic, les routes sont longues, monotones et enneigées. Nous apercevons tout de même quelques paysages intéressant.
Arrivé la bas, nous avons un beau cottage qui nous attend, avec cheminée, si bon lorsque l’on rentre des
Apres s’être installé, nous décidons de partir faire une petite promenade, certains en raquette certains en ski de fond, sur le(s) lac(s) si nombreux et si grands autour du cottage.
Le lendemain promenade pour les italiens et moi, et les espagnols décident de monter voir l’océan arctique plus au nord. Quelques belles images de cette randonnée en foret
L’après-midi nous visitons un musée same (lapon) et en chemin nous rencontrons quelques amis omniprésents ici.
En fin d’après midi nous essayons de pécher dans un lac gelé, après avoir percé un trou dans environ
dimanche, janvier 28, 2007
Dublin
Me revoilà pour un reportage un peu différent...
Nous quittons les paysages arides et ensoleillés et partons vers une île éloignée : direction l'Irlande. Vous me diriez sans doute "mais pourquoi mettre cela sur ton blog espagnol?" Parce qu'un Erasmus est avant tout un globetrotter, vous repondrais-je.
Commençons par le commencement... la définition d'un Irlandais.
C'est une personne comme vous et moi mis à part sa consommation de bierre. C'est pour cela qu'en l'an X fut crée une marque si reconnue mondialement de nos jours : Guinness. Alors pour se fondre dans le paysage irlandais, bien guidé par mon ami Yayo (spécial cassedédi!! à la diboul!), je lapai ce fameux brevage durant la soirée.
La première soirée écoulée (tout comme la bierre!),l'envie de me doucher surgit. Poursuivons donc la définition de l'Irlandais. Personne toujours comme vous et moi mis à part qu'elle ne se douche pas de la même façon. Et oui, là-bas pour se doucher il faut obligatoirement utiliser la douche à pompe! (Merci encore une fois a Yayo pour m'avoir expliqué son fonctionnement et par la même occasion empêché de la casser!)
Passons maintenant aux paysages irlandais. Comme il est bien conu, en Irlande, il pleut comme vache qui pisse! et cela a au moins un avantage, avoir des pelouses qui rendraient jaloux n'importe quel jardinier des stades de football espagnols.
Revenons dans la ville (que nous n'avions d'ailleurs pas vraiment quitté). Irlande, Irlande, terre de tradition... On ne change pas des poubelles qui gagnent... Et oui, ici vous ne pourrez rencontrer d'autres poubelles que celles-ci, c'est traditionnel et c'est tout le contraire de kitch! (qui a dit que les anglais étaient contradictoires!)
Mais que serait l'Irlande sans ses pubs? Parce que produire de la Guiness, c'est une chose, l'écoulée en est une autre! C'est pourquoi à Dublin vous trouverez autant de pub que d'habitant (dixit Yayo qui y habite (à Dublin, pas dans les pubs!), et qui ne comprend pas comment tous ceux-ci peuvent être rempli vu leur nombre!). Et voici sans doute le pub le plus fameux, "the temple bar"!
Enfin finissons notre tour d'horizon là où nous l'avions commencé... Je veux bien entendu parlé de l'activité principal de l'Irlandais : distiller. De l'amour entre autre mais surtout de l'alcool! Ici se présente Yayo devant cette distiillerie que malheureusement nous n'avons pu visiter pour cause de restauration!
Nous quittons les paysages arides et ensoleillés et partons vers une île éloignée : direction l'Irlande. Vous me diriez sans doute "mais pourquoi mettre cela sur ton blog espagnol?" Parce qu'un Erasmus est avant tout un globetrotter, vous repondrais-je.
Commençons par le commencement... la définition d'un Irlandais.C'est une personne comme vous et moi mis à part sa consommation de bierre. C'est pour cela qu'en l'an X fut crée une marque si reconnue mondialement de nos jours : Guinness. Alors pour se fondre dans le paysage irlandais, bien guidé par mon ami Yayo (spécial cassedédi!! à la diboul!), je lapai ce fameux brevage durant la soirée.
La première soirée écoulée (tout comme la bierre!),l'envie de me doucher surgit. Poursuivons donc la définition de l'Irlandais. Personne toujours comme vous et moi mis à part qu'elle ne se douche pas de la même façon. Et oui, là-bas pour se doucher il faut obligatoirement utiliser la douche à pompe! (Merci encore une fois a Yayo pour m'avoir expliqué son fonctionnement et par la même occasion empêché de la casser!)
Passons maintenant aux paysages irlandais. Comme il est bien conu, en Irlande, il pleut comme vache qui pisse! et cela a au moins un avantage, avoir des pelouses qui rendraient jaloux n'importe quel jardinier des stades de football espagnols.
Revenons dans la ville (que nous n'avions d'ailleurs pas vraiment quitté). Irlande, Irlande, terre de tradition... On ne change pas des poubelles qui gagnent... Et oui, ici vous ne pourrez rencontrer d'autres poubelles que celles-ci, c'est traditionnel et c'est tout le contraire de kitch! (qui a dit que les anglais étaient contradictoires!)
Mais que serait l'Irlande sans ses pubs? Parce que produire de la Guiness, c'est une chose, l'écoulée en est une autre! C'est pourquoi à Dublin vous trouverez autant de pub que d'habitant (dixit Yayo qui y habite (à Dublin, pas dans les pubs!), et qui ne comprend pas comment tous ceux-ci peuvent être rempli vu leur nombre!). Et voici sans doute le pub le plus fameux, "the temple bar"!
Enfin finissons notre tour d'horizon là où nous l'avions commencé... Je veux bien entendu parlé de l'activité principal de l'Irlandais : distiller. De l'amour entre autre mais surtout de l'alcool! Ici se présente Yayo devant cette distiillerie que malheureusement nous n'avons pu visiter pour cause de restauration!
mardi, janvier 16, 2007
Alonso en Valencia
En pleine période d'examen, les divers (tissement) périples se font plus rares. Alors, pour se divertir à domicile rien de tel que d'aller voir Alonso qui présente sa nouvelle formule 1... Et ça donne cela!
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